Bonjour à tous et à toutes,
Je vous fais part d'un article qui m'est parvenu cette semaine ... Celà date de 2008 mais mes récentes recherches sur la base de sous marins allemands m'orientent vers une une conclusion qui n'est pas très glorieuse pour cette dame qui prétend dans son livre avoir cotôyé les grands commandants de U-boote au cours de soirée à Eysines (Lisez son livre !!)
A l'époque où j'étudiais l'organisation de cette installation du Torpedo Kommando au Vigean et que j'ai recoupé tout celà avec les dates indiquées, il m'était apparu que les commandants en question était déjà parti en mer ou déjà morts ...
La récidive dans cet article m'oblige à prendre une nouvelle fois position en affirmant qu'elle n'a jamais travaillé à La BSM de Bacalan où elle prétend l'avoir fait !!
L'alvéole 11 de la base était une réserve de lubrifiants et de stokage d'un peu tout et n'importe quoi en relation avec un atelier ... Visitez la remise de votre garagiste préféré et vous comprendrez !!
Les rapports d'espionnage britanniques rapportent que cette alvéole a eu pour vocation dans les derniers mois de la guerre d'accueillir un poste de secours (infirmerie) et un poste de police pour sécuriser le site !!
Le torpedo Kommando était installé dans l'alvéole 1 ... à l'opposé !! On pourrait penser que c'est une "coquille" d'avoir confondu entre "11" et "1" mais l'erreur apparait dans chaque publication de cette dame qui a par ailleurs été interviewé par l'équipe de ce forum ...
Je vous laisse juger ... " aucun regret, aucune honte"
Bref, à chaque fois, aucun survivant ne peut corroborer ses dires ... c'est donc facile d'écrire ce que l'on veut !!! Bref en aucun cas un livre historique comme la presse le présente, mais un beau roman pour lire à la plage cet été !!
"Anne de la Bachellerie « La Corde de piano » DvG 2005. Le titre fait allusion à la corde de piano avec laquelle les SS étranglèrent en avril 1945 l’Amiral Wilhelm Canaris, ancien chef du contre-espionnage allemand, l’Abwehr. L’Amiral avait soutenu les adversaires d’Hitler. Dans la France occupée et maréchaliste de 1942 dont elle trace une fresque au vitriol, l’auteur, la séduisante Anne, aujourd’hui vieille dame passionnée et à la plume inspirée, fille de la bonne société catholique de Bordeaux, s’était éprise à 17 ans de Hans, un marin allemand. Pour ses beaux-parents de Hambourg, la « petite Française » qui a épousé son héros sur un navire, est un vrai rayon de soleil. Anne travaille désormais à la Base sous-marine allemande de Bordeaux comme secrétaire interprète. Son amie allemande Magdalena l’introduit dans le milieu des officiers allemands dont beaucoup ne pardonnent pas à Hitler de mener leur pays à sa perte. De ces « patriotes germaniques » émerge la figure du « petit amiral » Canaris auquel Anne offre ses services pour lutter contre la Gestapo. Prise entre deux feux, la Gestapo d’une part, les maquisards FTP de l’autre, Anne doit fuir en Allemagne en août 1944 dans des conditions inouïes. Elle s’immerge alors au cœur du Reich dans le corps des infirmières de la Croix Rouge Internationale et assiste, parmi les blessés et les malades, aux derniers soubresauts du Léviathan. Sauvée d’un peloton d’exécution britannique, elle est condamnée comme collaboratrice par des Français qui ignorent tout de l’Allemagne antihitlérienne. Une grande aventure humaine, un témoignage historique d’une très grande qualité littéraire (à la librairie allemande Marissal à Paris, à la librairie Mollat à Bordeaux, ou chez M. Jean-Baptiste Chauvet, 182, Avenue Pasteur, 33185 Le Haillan)."
Je vous fais part d'un article qui m'est parvenu cette semaine ... Celà date de 2008 mais mes récentes recherches sur la base de sous marins allemands m'orientent vers une une conclusion qui n'est pas très glorieuse pour cette dame qui prétend dans son livre avoir cotôyé les grands commandants de U-boote au cours de soirée à Eysines (Lisez son livre !!)
A l'époque où j'étudiais l'organisation de cette installation du Torpedo Kommando au Vigean et que j'ai recoupé tout celà avec les dates indiquées, il m'était apparu que les commandants en question était déjà parti en mer ou déjà morts ...
La récidive dans cet article m'oblige à prendre une nouvelle fois position en affirmant qu'elle n'a jamais travaillé à La BSM de Bacalan où elle prétend l'avoir fait !!
L'alvéole 11 de la base était une réserve de lubrifiants et de stokage d'un peu tout et n'importe quoi en relation avec un atelier ... Visitez la remise de votre garagiste préféré et vous comprendrez !!
Les rapports d'espionnage britanniques rapportent que cette alvéole a eu pour vocation dans les derniers mois de la guerre d'accueillir un poste de secours (infirmerie) et un poste de police pour sécuriser le site !!
Le torpedo Kommando était installé dans l'alvéole 1 ... à l'opposé !! On pourrait penser que c'est une "coquille" d'avoir confondu entre "11" et "1" mais l'erreur apparait dans chaque publication de cette dame qui a par ailleurs été interviewé par l'équipe de ce forum ...
Je vous laisse juger ... " aucun regret, aucune honte"
Bref, à chaque fois, aucun survivant ne peut corroborer ses dires ... c'est donc facile d'écrire ce que l'on veut !!! Bref en aucun cas un livre historique comme la presse le présente, mais un beau roman pour lire à la plage cet été !!
"Anne de la Bachellerie « La Corde de piano » DvG 2005. Le titre fait allusion à la corde de piano avec laquelle les SS étranglèrent en avril 1945 l’Amiral Wilhelm Canaris, ancien chef du contre-espionnage allemand, l’Abwehr. L’Amiral avait soutenu les adversaires d’Hitler. Dans la France occupée et maréchaliste de 1942 dont elle trace une fresque au vitriol, l’auteur, la séduisante Anne, aujourd’hui vieille dame passionnée et à la plume inspirée, fille de la bonne société catholique de Bordeaux, s’était éprise à 17 ans de Hans, un marin allemand. Pour ses beaux-parents de Hambourg, la « petite Française » qui a épousé son héros sur un navire, est un vrai rayon de soleil. Anne travaille désormais à la Base sous-marine allemande de Bordeaux comme secrétaire interprète. Son amie allemande Magdalena l’introduit dans le milieu des officiers allemands dont beaucoup ne pardonnent pas à Hitler de mener leur pays à sa perte. De ces « patriotes germaniques » émerge la figure du « petit amiral » Canaris auquel Anne offre ses services pour lutter contre la Gestapo. Prise entre deux feux, la Gestapo d’une part, les maquisards FTP de l’autre, Anne doit fuir en Allemagne en août 1944 dans des conditions inouïes. Elle s’immerge alors au cœur du Reich dans le corps des infirmières de la Croix Rouge Internationale et assiste, parmi les blessés et les malades, aux derniers soubresauts du Léviathan. Sauvée d’un peloton d’exécution britannique, elle est condamnée comme collaboratrice par des Français qui ignorent tout de l’Allemagne antihitlérienne. Une grande aventure humaine, un témoignage historique d’une très grande qualité littéraire (à la librairie allemande Marissal à Paris, à la librairie Mollat à Bordeaux, ou chez M. Jean-Baptiste Chauvet, 182, Avenue Pasteur, 33185 Le Haillan)."
Dernière édition par Erwann le Dim 12 Jan 2014 - 12:05, édité 1 fois